La 698 c’est la moto qui fait redécouvrir le plaisir du 2 roues loin des missiles de 220cv totalement inexploitables dans le contexte répressif actuel.
150kg pour 84cv avec la ligne racing (indispensable je détaillerai plus loin), par expérience je la comparerais à une Caterham à 2 roues.
Du fun tout le temps, et une maniabilité incroyable qui pardonne toutes les erreurs.
Je suis dans la phase découverte avec un peu plus de 200km et je suis loin d’avoir atteint le potentiel de cette petite moto.
Je prends déjà un angle qui m’impressionne sur route ouverte mais j’ai une appréhension à aller plus loin, car j’ai en tête le syndrome Coluche qui s’est planté dans un camion à l’arrêt dans un virage, ou celui du sanglier qui traverse sans prévenir, vécu la semaine dernière.
La moto se contrôle pourtant au doigt et l’œil, et en courbe très serrée ne se relève pas d’un poil même si on prend les freins ce qui permet de se sortir d’une situation délicate du genre virage pris avec trop de vitesse, et de pouvoir ramener instantanément l’ensemble à l’intérieur.
Cette moto me rappelle en tous points les 2 temps de la fin des années 80 comme la Yamaha 250 TDR dont j’ai eu 3 exemplaires, même poids de 150kg, une poussée velue et un énorme disque à l’avant pour faire des stoopies sur 30 mètres, un concept génial dont devrait s’inspirer toutes les motos.
Les constructeurs semblent l’avoir compris comme Triumph avec des jolies petites 400, mais avec 40cv on reste loin des sensations d’un moteur de course comme la 698.
La 698 est bourrée de réglages paramétrables qui permettent même à un poireau d’avoir la sensation de savoir conduire, c’est donc une réussite sur le plan technique.
Cela faisait bien 25 ans que je n’avais pas roulé sur une moto aussi excitante, c’est un peu la sensation de se retrouver pendant sa nuit de noce.. mais là c’est renouvelable tous les jours
Il reste à finir le rodage avec la limite des 5500t pour aller chercher les 5000t restant et aucun autre momo de série ne possède l’allonge d’un 4 cylindres, en fait il n’arrête pas de pousser du souvenir que j’ai de la moto d’essai.
Je reviens vers une option qui est indispensable pour tirer la quintessence du moteur, c’est la ligne racing qui fait gagner 7cv mais surtout lui permet de respirer pleinement des les bas régimes.
La norme euro5+ et une catastrophe sur ces moteurs puissants et génère des à-coups en dessous de 3500t, fait chauffer et souffrir inutilement la mécanique en agglomération.
La ligne et la nouvelle cartographie règle le problème en plus d’augmenter le couple et de permettre des bonnes reprises à bas régimes.
Pour le moment je roule en origine car il y avait rupture de stock face à la demande, mais elle sera posée à la révision des 1000km.
J’ai pris la version la moins cher car Ducati fait payer 1000€ les déco et le shifter, j’ai juste rajouté le shifter pour 290€ et commandé un sabot moteur.
Elle est parfaite comme ça.
150kg pour 84cv avec la ligne racing (indispensable je détaillerai plus loin), par expérience je la comparerais à une Caterham à 2 roues.
Du fun tout le temps, et une maniabilité incroyable qui pardonne toutes les erreurs.
Je suis dans la phase découverte avec un peu plus de 200km et je suis loin d’avoir atteint le potentiel de cette petite moto.
Je prends déjà un angle qui m’impressionne sur route ouverte mais j’ai une appréhension à aller plus loin, car j’ai en tête le syndrome Coluche qui s’est planté dans un camion à l’arrêt dans un virage, ou celui du sanglier qui traverse sans prévenir, vécu la semaine dernière.
La moto se contrôle pourtant au doigt et l’œil, et en courbe très serrée ne se relève pas d’un poil même si on prend les freins ce qui permet de se sortir d’une situation délicate du genre virage pris avec trop de vitesse, et de pouvoir ramener instantanément l’ensemble à l’intérieur.
Cette moto me rappelle en tous points les 2 temps de la fin des années 80 comme la Yamaha 250 TDR dont j’ai eu 3 exemplaires, même poids de 150kg, une poussée velue et un énorme disque à l’avant pour faire des stoopies sur 30 mètres, un concept génial dont devrait s’inspirer toutes les motos.
Les constructeurs semblent l’avoir compris comme Triumph avec des jolies petites 400, mais avec 40cv on reste loin des sensations d’un moteur de course comme la 698.
La 698 est bourrée de réglages paramétrables qui permettent même à un poireau d’avoir la sensation de savoir conduire, c’est donc une réussite sur le plan technique.
Cela faisait bien 25 ans que je n’avais pas roulé sur une moto aussi excitante, c’est un peu la sensation de se retrouver pendant sa nuit de noce.. mais là c’est renouvelable tous les jours
Il reste à finir le rodage avec la limite des 5500t pour aller chercher les 5000t restant et aucun autre momo de série ne possède l’allonge d’un 4 cylindres, en fait il n’arrête pas de pousser du souvenir que j’ai de la moto d’essai.
Je reviens vers une option qui est indispensable pour tirer la quintessence du moteur, c’est la ligne racing qui fait gagner 7cv mais surtout lui permet de respirer pleinement des les bas régimes.
La norme euro5+ et une catastrophe sur ces moteurs puissants et génère des à-coups en dessous de 3500t, fait chauffer et souffrir inutilement la mécanique en agglomération.
La ligne et la nouvelle cartographie règle le problème en plus d’augmenter le couple et de permettre des bonnes reprises à bas régimes.
Pour le moment je roule en origine car il y avait rupture de stock face à la demande, mais elle sera posée à la révision des 1000km.
J’ai pris la version la moins cher car Ducati fait payer 1000€ les déco et le shifter, j’ai juste rajouté le shifter pour 290€ et commandé un sabot moteur.
Elle est parfaite comme ça.