Tranxen 200.
L'hémorragie de tes désirs
S'est éclipsée sous l'azur bleu dérisoire
Du temps qui se passe
Contre duquel on ne peut rien
L'hémorragie de tes désirs
S'est éclipsée sous l'azur bleu dérisoire
Du temps qui se passe
Contre duquel on ne peut rien
Être ou ne pas être
Telle est la question sinusoïdale
De l'anachorète
Hypocondriaque
Telle est la question sinusoïdale
De l'anachorète
Hypocondriaque
Mais tu dis (mais tu dis)
Que le bonheur est irréductible
Et je dis (et il dit)
Que ton espoir n'est pas si désespéré
À condition d'analyser
Que l'absolu ne doit pas être annihilé
Par l'illusoire précarité de nos amours
Destituées
Et vice et versa
Et vice et versa
Que le bonheur est irréductible
Et je dis (et il dit)
Que ton espoir n'est pas si désespéré
À condition d'analyser
Que l'absolu ne doit pas être annihilé
Par l'illusoire précarité de nos amours
Destituées
Et vice et versa
Et vice et versa
Il faut que tu arriveras
À laminer tes rancœurs dialectiques
Même si je suis con
Vaincu que c'est très difficile
À laminer tes rancœurs dialectiques
Même si je suis con
Vaincu que c'est très difficile
Mais comme moi, dis-toi
Qu'il est tellement plus mieux
D'éradiquer les tentacules de la déréliction
Et tout deviendra clair
Qu'il est tellement plus mieux
D'éradiquer les tentacules de la déréliction
Et tout deviendra clair
Mais tu dis (mais tu dis)
Que le bonheur est irréductible
Et je dis (et il dit)
Que ton espoir n'est pas si désespéré
À condition d'analyser
Que l'absolu ne doit pas être annihilé
Par l'illusoire précarité de nos amours
Destituées
Et vice et versa
Et vice et versa
Que le bonheur est irréductible
Et je dis (et il dit)
Que ton espoir n'est pas si désespéré
À condition d'analyser
Que l'absolu ne doit pas être annihilé
Par l'illusoire précarité de nos amours
Destituées
Et vice et versa
Et vice et versa
D'où venons nous? Où allons nous?
J'ignore de le savoir
Mais ce que je n'ignore pas de le savoir
C'est que le bonheur
Est à deux doigts de tes pieds
Et que la simplicité réside dans l'alcôve
Bleue et jaune et mauve et insoupçonnée
De nos rêveries
Mauves et bleues et, et jaunes et pourpres
Et paraboliques
Et vice et versa
J'ignore de le savoir
Mais ce que je n'ignore pas de le savoir
C'est que le bonheur
Est à deux doigts de tes pieds
Et que la simplicité réside dans l'alcôve
Bleue et jaune et mauve et insoupçonnée
De nos rêveries
Mauves et bleues et, et jaunes et pourpres
Et paraboliques
Et vice et versa
Mais tu dis (mais tu dis)
Que le bonheur est irréductible
Et je dis (et il dit)
Que ton espoir n'est pas si désespéré
À condition d'analyser
Que l'absolu ne doit pas être annihilé
Par l'illusoire précarité de nos amours (destitu)
Et qu'il ne faut pas cautionner
L'irréalité
Sous les aspérités absentes
Et désenchantées (desti)
De nos pensées iconoclastes
Et désoxydées (des)
Par nos désirs excommuniés
De la fatalité
Destituée
Et vice et versa
Et vice et versa
Et vice et versa
Que le bonheur est irréductible
Et je dis (et il dit)
Que ton espoir n'est pas si désespéré
À condition d'analyser
Que l'absolu ne doit pas être annihilé
Par l'illusoire précarité de nos amours (destitu)
Et qu'il ne faut pas cautionner
L'irréalité
Sous les aspérités absentes
Et désenchantées (desti)
De nos pensées iconoclastes
Et désoxydées (des)
Par nos désirs excommuniés
De la fatalité
Destituée
Et vice et versa
Et vice et versa