05-13-2011, 04:46 PM
... sensiblement différentes de la vision que se font les constructeurs automobiles de cet eldorado de l'emboutisseuse :
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Vous êtes Pékinois et vous voulez acheter une voiture?
La capitale Chinoise, comme toutes les grandes villes du monde, connait une croissance démesurée de son parc automobile. De quoi créer des embouteillages et de la pollution.
Comme d’habitude, les autorités ont réagi avec la finesse d’un éléphant dans un magasin de porcelaines. Ils ont ainsi institué un numerus clausus du nombre d’immatriculations. Seules 240 000 nouvelles plaques seront imprimées en 2011 (alors qu’il y avait 500 000 ventes de voitures à Pékin, en 2010.)
Evidemment, les prix des plaques flambent.
Le “plan B” consiste à acheter une voiture d’occasion, car on garde sa plaque une fois que la voiture part à la casse (et on peut ensuite la monter sur une voiture neuve.) D’où une ruée vers les fourrières pour acheter les épaves saisies par la police. 80% des voitures saisies sont revendues (contre 30% en 2010), y compris les poubelles roulantes. La moindre SAIC-VW Santana à bout de souffle part pour 60 000 yuans (6 400€; alors qu’une Santana neuve vaut 79 800 yuans.)
A priori, ce vide juridique devrait vite disparaitre. Les autorités municipales veulent moins de voitures, point. Les supplications des concessionnaires (qui voient leurs ventes s’effondrer) n’y font rien.
Source: Car News China
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Vous êtes Pékinois et vous voulez acheter une voiture?
La capitale Chinoise, comme toutes les grandes villes du monde, connait une croissance démesurée de son parc automobile. De quoi créer des embouteillages et de la pollution.
Comme d’habitude, les autorités ont réagi avec la finesse d’un éléphant dans un magasin de porcelaines. Ils ont ainsi institué un numerus clausus du nombre d’immatriculations. Seules 240 000 nouvelles plaques seront imprimées en 2011 (alors qu’il y avait 500 000 ventes de voitures à Pékin, en 2010.)
Evidemment, les prix des plaques flambent.
Le “plan B” consiste à acheter une voiture d’occasion, car on garde sa plaque une fois que la voiture part à la casse (et on peut ensuite la monter sur une voiture neuve.) D’où une ruée vers les fourrières pour acheter les épaves saisies par la police. 80% des voitures saisies sont revendues (contre 30% en 2010), y compris les poubelles roulantes. La moindre SAIC-VW Santana à bout de souffle part pour 60 000 yuans (6 400€; alors qu’une Santana neuve vaut 79 800 yuans.)
A priori, ce vide juridique devrait vite disparaitre. Les autorités municipales veulent moins de voitures, point. Les supplications des concessionnaires (qui voient leurs ventes s’effondrer) n’y font rien.
Source: Car News China
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