Précisions perso donc sans importance!
#1
On n'est certes pas là pour exposer ses états d'âme mais je ne résiste pas à l'envie de dissiper divers malentendus qui pourraient surgir à propos de mon approche sur telle ou telle équipe ou sur tel pilote. Ce n'est guère important, je vous le concéde, mais je voue une quasi religion à la clarté et à la franchise, alors voilà:...

FERRARI:
Décriée à présent, de manière qui me m'effraie parfois, je tiens à dire que la Scudéria est pour moi un patrimoine incontournable, une icone inévitable du sport automobile en général. C'est avec le grand GILLES que j'ai commencé à vibrer pour le rouge et j'ai suivi avec la plus grande passion la reconquête de son rang engagée en 96. Le chemin a été terriblement long, Michaël SCHUMACHER a été étincelant et d'une abnégation hors norme, si bien qu'en 2000, j'ai franchement éprouvé de l'émotion. ENFIN, ILS l'avaient fait! Ce qui se passe aujourd'hui n'est que la récolte légitime d'un travail de sappe. Leur enlever ça, c'est inique! Souvenez vous des temps qualifs, et surtout la manière de les arracher d'un Schumi en 96/98, à bord d'une monoplace trés en deçà des Mc LAREN de l'époque. C'était simplement extraordinaire!

Mais comme je suis pour le sport et le panache je souhaite que les autres équipes soient en mesure de donner le change pour éviter la léthargie. Comme ça on ne pourra pas dire que FERRARI ramasse sa gloire au rabais...

LES PILOTES:
Là c'est trés simple: Schumi est une bête, un rouleau compresseur, un phénomène, point barre. Seulement j'aime bien la fougue, la remise en question de l'ordre établi, le sel qui épice. Je me suis enthousiasmé en 84 lorsqu'à MONACO a surgi des eaux un SENNA, bousculant la valeur PROST. J'ai adoré l'arrivée fracassante du jeune SCHUMACHER à bord d'une JORDAN à SPA. Et j'ai crié de plaisir l'an dernier en me délectant du dépassement de MONTOYA sur un Schumi devenu à son tour la valeur référence, au GP du BRESIL. Avant de s'imposer, il faut être détesté, car on dérange. Ce que je souhaite, c'est une franche et loyale bataille entre Schumi et le pittbull colombien. De celle qu'un triste mois de mai 94 nous a privé entre Ayrton et Michaël...
<i>" En politique, une absurdité n'est pas un obstacle " </i> Napoléon Bonaparte.
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#2
Je n'ai rien d'autre à ajouter [Image: jap.gif]
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#3
@ndré, je t'aime.

[Image: calin.gif]
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