03-07-2002, 12:29 AM
Lu sur Yahoo.fr
<!--quoteo-->CITATION<!--quotec-->Une ambulance verbalisée pour excès de vitesse
TOURS (AFP) - Une ambulance transportant en urgence une enfant devant subir une opération a été arrêtée et verbalisée pour excès de vitesse par des gendarmes de Tours.
Les faits remontent au 26 octobre mais n'ont été évoqués que mardi devant le tribunal de police de Tours. Ce jour là, sur le territoire de la commune de Saint-Roch, l'ambulance privée roule, gyrophare en action, à 133 km/h sur une portion de route limitée à 90 km/heure. A son bord une fillette, victime d'une hémorragie, transportée allongée pour admission à la clinique Saint-Gatien de Tours. Deux motards de l'escadron départemental de sécurité routière de la gendarmerie font arrêter le véhicule pendant vingt minutes, affirme l'ambulancier, et dressent un procès verbal.
Devant le tribunal de police, l'avocat de l'ambulancier, Me Patrick Leloup, a stigmatisé mardi l'attitude des gendarmes. Mais, selon le capitaine Stéphane Depassio, commandant l'escadron, interrogé par l'AFP, l'ambulancier de la société Leseve de Vaas (Sarthe) a présenté aux motards un "bon de transport" ne mentionnant aucune urgence particulière.
"Il a été retenu pendant moins de vingt minutes car des gendarmes ne mettent pas autant de temps à dresser un procès-verbal et les motards lui ont même proposé de lui ouvrir la route pour qu'il rattrape le temps perdu, ce qu'il a refusé", a indiqué le capitaine.
"Le mode de transport est une prescription médicale, en fonction de l'urgence: véhicules du SAMU, du SMUR ou des pompiers accompagnés ou non de motards, ou bien ambulances privées", a-t-on expliqué à la clinique Saint-Gatien.
Toutefois l'affaire pourrait s'arrêter là car le tribunal a prononcé "la nullité de la citation" à comparaître de l'ambulancier, étant donné que le procès-verbal mentionnait la date du 16 octobre.
Pourtant, a affirmé le commandant de l'escadron, l'erreur ne provient pas des gendarmes.<!--QuoteEnd--><!--QuoteEEnd-->
On se demande bien qui était bourré...
<!--quoteo-->CITATION<!--quotec-->Une ambulance verbalisée pour excès de vitesse
TOURS (AFP) - Une ambulance transportant en urgence une enfant devant subir une opération a été arrêtée et verbalisée pour excès de vitesse par des gendarmes de Tours.
Les faits remontent au 26 octobre mais n'ont été évoqués que mardi devant le tribunal de police de Tours. Ce jour là, sur le territoire de la commune de Saint-Roch, l'ambulance privée roule, gyrophare en action, à 133 km/h sur une portion de route limitée à 90 km/heure. A son bord une fillette, victime d'une hémorragie, transportée allongée pour admission à la clinique Saint-Gatien de Tours. Deux motards de l'escadron départemental de sécurité routière de la gendarmerie font arrêter le véhicule pendant vingt minutes, affirme l'ambulancier, et dressent un procès verbal.
Devant le tribunal de police, l'avocat de l'ambulancier, Me Patrick Leloup, a stigmatisé mardi l'attitude des gendarmes. Mais, selon le capitaine Stéphane Depassio, commandant l'escadron, interrogé par l'AFP, l'ambulancier de la société Leseve de Vaas (Sarthe) a présenté aux motards un "bon de transport" ne mentionnant aucune urgence particulière.
"Il a été retenu pendant moins de vingt minutes car des gendarmes ne mettent pas autant de temps à dresser un procès-verbal et les motards lui ont même proposé de lui ouvrir la route pour qu'il rattrape le temps perdu, ce qu'il a refusé", a indiqué le capitaine.
"Le mode de transport est une prescription médicale, en fonction de l'urgence: véhicules du SAMU, du SMUR ou des pompiers accompagnés ou non de motards, ou bien ambulances privées", a-t-on expliqué à la clinique Saint-Gatien.
Toutefois l'affaire pourrait s'arrêter là car le tribunal a prononcé "la nullité de la citation" à comparaître de l'ambulancier, étant donné que le procès-verbal mentionnait la date du 16 octobre.
Pourtant, a affirmé le commandant de l'escadron, l'erreur ne provient pas des gendarmes.<!--QuoteEnd--><!--QuoteEEnd-->
On se demande bien qui était bourré...