03-05-2003, 11:33 AM
Bonjour,
Comme vous le savez, le gouvernement s'est lancé dans une politique de "sécurité routière" ultra répressive au nom de la "lutte contre l'insécurité". Des dépenses énormes sont engagées pour durcir la répression au lieu de s'attaquer au problème de fonds : formation et infrastructures.
Pour le moment, aucun mouvement d'automobilistes n'existe pour exprimer son désaccord. Le seul mouvement d'usagers de la route solide qui tente de se mobiliser contre cette politique est un mouvement motard, la FFMC, qui a déjà obtenu beaucoup de concessions en matière de sécurité routière de la part de l'État. Cette association possède des antennes dans chaque département, une simple recherche avec un moteur quelconque vous donner le site de la votre. Le site national de l'association est www.ffmc.asso.fr/ .
Aujourd'hui, automobilistes ou motards, nous vous invitons à exprimer votre désaccord à l'occasion d'un week-end de manifestations dans chaque régions.
Ci-joint, le texte invitant à manifester ainsi que les lieux et heures des manifestations. Joignez vous à nous afin de montrer au gouvernement que le peuple souhaite autre chose que de la répression pour lutter contre l'insécurité routière !
Faites passer le message SVP !
MANIFESTATIONS LES 15 ET 16 MARS 2003
A l'appel de la FFMC, rassemblez-vous dans toute la France
CONTRE LE DISCOURS SIMPLISTE ET SUR-REPRESSIF DE LA SECURITE ROUTIERE
POUR UNE VRAIE POLITIQUE DE FORMATION
POUR EN FINIR AVEC LES INFRASTRUCTURES DANGEREUSES
Pourquoi cette date ?
Les mesures répressives annoncées par le gouvernement ces dernières semaines vont faire l'objet d'un projet de loi. Il sera présenté en conseil des ministres le 25 février, puis il sera transmis à l'assemblée nationale et au sénat qui devront en débattre et le voter. Ce sera le moment de nous faire entendre et d'interpeller nos élus sur les incohérences de la politique de sécurité routière. Le jeu serait-il truqué d'avance ? On le saura dans quelques semaines. Mais une chose est sûre, les motards doivent être dans la rue pour se faire entendre.
Nous sommes actuellement le seul mouvement qui se bat pour des mesures intelligentes et qui dénonce les manipulations des pouvoirs publics, alors que la majorité crie avec les loups.
Le gouvernement propose un ensemble de mesures purement répressives. Il donne l'impression de s'occuper réellement du problème de la sécurité routière alors qu'il va au plus simple : montrer la vitesse du doigt ! Les radars vont rapporter gros mais pour qui ? Pourquoi ? Pour en acheter d'autres ? Alors que la majorité des accidents ont lieu en rase campagne et que la cause de déclenchement n'est pas la vitesse mais d'autres facteurs (signalisation, infrastructures, conditions climatique etc...).
De plus le gouvernement va plus loin en s'attaquant au système de défense des citoyens. L'automatisation des sanctions signifie que les radars seront reliés à un ordinateur qui expédiera lui même l'avis de contravention, tout sera automatique. Et pour rendre ce système plus efficace : il faudra payer avant de contester. Une telle mesure est illégale et contraire aux principes fondamentaux du droit de la défense et de la présomption d'innocence (payer avant de pouvoir se défendre).
La répression n'est pas la solution, d'autres se sont mordu la queue pour l'avoir appliquée sans résultat probant.
Que l'on nous dise comment améliorer les infrastructures et entretenir nos routes avec moins de moyens ?
Les gouvernements se succèdent et persistent dans des mesures démagogiques qui n'auront qu'un effet d'annonce.
La vitesse est la coupable parfaite. Inutile de chercher vers les infrastructures, la signalisation, la fatigue, le manque d'entretien, les médicaments, la mauvaise formation...
Le dernier colloque de la sécurité routière de la semaine dernière titrait : «sortir de l'impasse», oui il faut sortir de l'impasse, oui il faut vraiment agir pour améliorer la sécurité routière sur la route mais avec quels moyens ?
Quelles sont les véritables causes de la mortalité sur nos routes ?
Où doivent-être mis les moyens pour en diminuer les effets ?
Ces questions, nous nous les posons tous les jours en tant que motard et nous le savons très bien, pour améliorer efficacement la sécurité routière il faut agir à sa base avec des objectifs à long terme.
C'est si simple de fustiger un facteur d'accidentologie en le rendant responsable de tous les accidents et en oubliant les principaux. Bien sûr la vitesse tue mais, c'est parce qu'elle est « inadaptée ».
Nous remettons en cause les statistiques et l'interprétation qui en est faite.
Nous ne sommes pas les seuls à le dire puisqu'un rapport du Sénat l'évoque clairement : « Les données statistiques sont peu fiables car elles reposent sur les fiches BAAC (bulletin d'analyse d'accident corporel), remplies par les forces de l'ordre à partir de la procédure d'accident en cours de réalisation ». Les fiches BAAC existent depuis 1960, leur objectif est de préciser les responsabilités et non de comprendre le mécanisme de l'accident.
Les données statistiques « accidents-tués-blessés » qui en sont extirpées comportent des marges d'erreurs importantes :
a.. Le nombre de tués est sous-estimé,
b.. Le nombre d'accidents corporels est faux puisque la moitié des accidents « légers » ne fait pas l'objet de procédures par les forces de l'ordre. La gravité moyenne des accidents corporels est donc surestimée.
c.. La moitié des blessés graves dans les statistiques ne l'est pas au sens médical, (le premier rapport fait par les forces de l'ordre aggrave la situation)
d.. La localisation des accidents en milieu interurbain est largement fausse. Dans 50 % des cas une erreur de 100 mètres du lieu où s'est vraiment produit l'accident est relevée. Dans 39 % des cas c'est une erreur d'un kilomètre.
C'est d'autant plus grave quand on nous parle d'éradiquer les points noirs.
Le fichier BAAC est un recueil de statistiques générales, qui ne permet pas de comprendre la mécanique d'un accident et ses implications. Un groupe de travail est mis en place par l'ONISR car il faut selon leurs propres termes « re-motiver » les services de police et de gendarmerie. Donc, pourquoi les analyses tirées de ces fiches font-elles tellement référence ?
La vitesse est un facteur aggravant, nous roulons trop vite donc il faut des radars, rien n'est fait sur la formation, pourquoi ?
Le manque de moyens et de volonté politique ou tout simplement parce que nous entendons une nouvelle interprétation des mots et de leurs définitions.
a.. Faire de la formation, c'est mettre des radars ;
b.. Faire de l'éducation, c'est mettre des radars ;
c.. Faire de la prévention, c'est mettre des radars ;
A l'heure où nous rentrons dans une banalisation de la répression, où l'usager de la route est synonyme de délinquant et d'assassin (comme le dit Raffarin), il faut se mobiliser.
Nous lançons de ce fait un appel national à manifester dans les départements, les 15 et 16 mars, en plein cour du débat.
Lieux et heures des rendez-vous : http://www.ffmc.asso.fr/
Date Antennes Rendez-vous Ville Contact
Samedi 15 mars FFMC 06 14h00 place Massena NICE 06 67 30 89 60
Samedi 15 mars FFMC 10 14h00 parking de l'UTT TROYES 03 25 49 84 54
Samedi 15 mars FFMC 11 14h00 parking centre Leclerc route de Toulouse (N 113) CARCASSONNE 06 08 81 87 21
Samedi 15 Mars FFMC 13 15h00 place Jean Jaurès ( La Plaine ) MARSEILLE 04.91.34.92.73
Samedi 15 Mars FFMC 14 14h00 parking de la piscine13h00 place Mitterand CAENLISIEUX
Samedi 15 Mars FFMC 16 Rejoint la manif de Périgueux
Samedi 15 Mars FFMC 24 14h00 place Francheville PERIGUEUX 06.81.95.86.91
Samedi 15 mars FFMC 26 13h00 parking du parc Jouvet RN 6 pour rejoindre la manif de Lyon VALENCE 06 63 24 67 58
Samedi 15 mars FFMC 29 14h parking du Parc des Expositions de PENVILLERS. QUIMPER 06.85.95.06.28
Samedi 15 mars FFMC 30 14h30 parvis des Arènes NIMES 04 66 29 66 86
Samedi 15 mars FFMC 33 Deux départs sont prévus à 14h00 lace Ravesies - parking de la gare St Louis Quai de Paludate - parking en face du M.I.N. BORDEAUX 05 56 90 91 03
Samedi 15 mars FFMC 34 14h00 aux Arceaux MONTPELLIER 06 81 83 63 62
Samedi 15 mars FFMC 35 Rejoint la manif de Nantes
Samedi 15 mars FFMC 37 14h30 Place Thiers . Arrêts devant les symboles de l'Autorité : la gendarmerie, le poste de Police et la Préfecture TOURS
Samedi 15 mars FFMC 38 12h30 place de la Préfecture pour rejoindre la manif de Lyon GRENOBLE 04 76 87 21 10
Samedi 15 mars FFMC 40 Deux points de rendez-vous pour rejoindre la manifestation d'Agen*12h30 au rond-point route de Mont-de-Marsan (Station Total)* 13h15 au rond-point de la caserne des pompiers DAXMONT-DE-MARSAN 06.08.50.86.95
Samedi 15 mars FFMC 44 14h00 Champ de Mars - rue de Jemmapes NANTES 02 40 76 35 87
Samedi 15 mars FFMC 47 14h30 esplanade du Gravier AGEN 06 16 110 200
Samedi 15 mars FFMC 54 - 57 14h00 au Zénith NANCY 06 76 86 34 14
Samedi 15 mars FFMC 58 13h30 place Carnot NEVERS 06 63 17 24 55
Samedi 15 mars FFMC 59 14h30 rond-point de la RN 455 PECQUENCOURT 06 64 67 36 14
Samedi 15 mars FFMC 62 14h30 parking Bollaer LENS 06.18.47.87.87
Samedi 15 mars FFMC 63
Samedi 15 mars FFMC 66 14h00 parking face au palais des expositions PERPIGNAN 06 10 66 22 40
Samedi 15 mars FFMC 69 14h00 place Bellecour LYON 04 72 71 00 00
Dimanche 16 mars FFMC 75-92-93-94 14h00 Château de Vincennes VINCENNES
Samedi 15 mars FFMC 72 13h00 parking Antares LE MANS 06 85 61 52 36
Samedi 15 mars FFMC 73 14h00 au Carré curial CHAMBERY 06 13 375 095
Samedi 15 mars FFMC 74 14h00 quai du Semnoz face à l'hôtel de ville ANNECY
Samedi 15 mars FFMC 76 14h00 Quai du Cours La Reine Rouen rive gauche (quai bas Jacques Anquetil) ROUEN
Dimanche 16 mars FFMC 77 Rejoint la manif de paris
Dimanche 16 mars FFMC 78 Rendez-vous pour aller rejoindre la manif de Paris* 13h45 au local FFMC / Mutuelle des Motards 21 bld Renard Benoît* 14h00 rocade d'accès à l'A13 direction Paris * 14h15 bretelle d'accès au Pacha Club (Bull) * 14h00 gare SNCF EPONEPOISSYLOUVECIENNESLA VERRIERE Fifi : 06 77 92 65 48 John : 06 86 03 61 00
Samedi 15 mars FFMC 80 14h00 Parc de la Hotoie AMIENS 06 20 51 43 29
Samedi 15 mars FFMC 87 15h00 - Parking de la Bastide LIMOGES 05 55 77 59 07
Samedi 15 mars FFMC 88 14h30 parc des expositions EPINAL
Comme vous le savez, le gouvernement s'est lancé dans une politique de "sécurité routière" ultra répressive au nom de la "lutte contre l'insécurité". Des dépenses énormes sont engagées pour durcir la répression au lieu de s'attaquer au problème de fonds : formation et infrastructures.
Pour le moment, aucun mouvement d'automobilistes n'existe pour exprimer son désaccord. Le seul mouvement d'usagers de la route solide qui tente de se mobiliser contre cette politique est un mouvement motard, la FFMC, qui a déjà obtenu beaucoup de concessions en matière de sécurité routière de la part de l'État. Cette association possède des antennes dans chaque département, une simple recherche avec un moteur quelconque vous donner le site de la votre. Le site national de l'association est www.ffmc.asso.fr/ .
Aujourd'hui, automobilistes ou motards, nous vous invitons à exprimer votre désaccord à l'occasion d'un week-end de manifestations dans chaque régions.
Ci-joint, le texte invitant à manifester ainsi que les lieux et heures des manifestations. Joignez vous à nous afin de montrer au gouvernement que le peuple souhaite autre chose que de la répression pour lutter contre l'insécurité routière !
Faites passer le message SVP !
MANIFESTATIONS LES 15 ET 16 MARS 2003
A l'appel de la FFMC, rassemblez-vous dans toute la France
CONTRE LE DISCOURS SIMPLISTE ET SUR-REPRESSIF DE LA SECURITE ROUTIERE
POUR UNE VRAIE POLITIQUE DE FORMATION
POUR EN FINIR AVEC LES INFRASTRUCTURES DANGEREUSES
Pourquoi cette date ?
Les mesures répressives annoncées par le gouvernement ces dernières semaines vont faire l'objet d'un projet de loi. Il sera présenté en conseil des ministres le 25 février, puis il sera transmis à l'assemblée nationale et au sénat qui devront en débattre et le voter. Ce sera le moment de nous faire entendre et d'interpeller nos élus sur les incohérences de la politique de sécurité routière. Le jeu serait-il truqué d'avance ? On le saura dans quelques semaines. Mais une chose est sûre, les motards doivent être dans la rue pour se faire entendre.
Nous sommes actuellement le seul mouvement qui se bat pour des mesures intelligentes et qui dénonce les manipulations des pouvoirs publics, alors que la majorité crie avec les loups.
Le gouvernement propose un ensemble de mesures purement répressives. Il donne l'impression de s'occuper réellement du problème de la sécurité routière alors qu'il va au plus simple : montrer la vitesse du doigt ! Les radars vont rapporter gros mais pour qui ? Pourquoi ? Pour en acheter d'autres ? Alors que la majorité des accidents ont lieu en rase campagne et que la cause de déclenchement n'est pas la vitesse mais d'autres facteurs (signalisation, infrastructures, conditions climatique etc...).
De plus le gouvernement va plus loin en s'attaquant au système de défense des citoyens. L'automatisation des sanctions signifie que les radars seront reliés à un ordinateur qui expédiera lui même l'avis de contravention, tout sera automatique. Et pour rendre ce système plus efficace : il faudra payer avant de contester. Une telle mesure est illégale et contraire aux principes fondamentaux du droit de la défense et de la présomption d'innocence (payer avant de pouvoir se défendre).
La répression n'est pas la solution, d'autres se sont mordu la queue pour l'avoir appliquée sans résultat probant.
Que l'on nous dise comment améliorer les infrastructures et entretenir nos routes avec moins de moyens ?
Les gouvernements se succèdent et persistent dans des mesures démagogiques qui n'auront qu'un effet d'annonce.
La vitesse est la coupable parfaite. Inutile de chercher vers les infrastructures, la signalisation, la fatigue, le manque d'entretien, les médicaments, la mauvaise formation...
Le dernier colloque de la sécurité routière de la semaine dernière titrait : «sortir de l'impasse», oui il faut sortir de l'impasse, oui il faut vraiment agir pour améliorer la sécurité routière sur la route mais avec quels moyens ?
Quelles sont les véritables causes de la mortalité sur nos routes ?
Où doivent-être mis les moyens pour en diminuer les effets ?
Ces questions, nous nous les posons tous les jours en tant que motard et nous le savons très bien, pour améliorer efficacement la sécurité routière il faut agir à sa base avec des objectifs à long terme.
C'est si simple de fustiger un facteur d'accidentologie en le rendant responsable de tous les accidents et en oubliant les principaux. Bien sûr la vitesse tue mais, c'est parce qu'elle est « inadaptée ».
Nous remettons en cause les statistiques et l'interprétation qui en est faite.
Nous ne sommes pas les seuls à le dire puisqu'un rapport du Sénat l'évoque clairement : « Les données statistiques sont peu fiables car elles reposent sur les fiches BAAC (bulletin d'analyse d'accident corporel), remplies par les forces de l'ordre à partir de la procédure d'accident en cours de réalisation ». Les fiches BAAC existent depuis 1960, leur objectif est de préciser les responsabilités et non de comprendre le mécanisme de l'accident.
Les données statistiques « accidents-tués-blessés » qui en sont extirpées comportent des marges d'erreurs importantes :
a.. Le nombre de tués est sous-estimé,
b.. Le nombre d'accidents corporels est faux puisque la moitié des accidents « légers » ne fait pas l'objet de procédures par les forces de l'ordre. La gravité moyenne des accidents corporels est donc surestimée.
c.. La moitié des blessés graves dans les statistiques ne l'est pas au sens médical, (le premier rapport fait par les forces de l'ordre aggrave la situation)
d.. La localisation des accidents en milieu interurbain est largement fausse. Dans 50 % des cas une erreur de 100 mètres du lieu où s'est vraiment produit l'accident est relevée. Dans 39 % des cas c'est une erreur d'un kilomètre.
C'est d'autant plus grave quand on nous parle d'éradiquer les points noirs.
Le fichier BAAC est un recueil de statistiques générales, qui ne permet pas de comprendre la mécanique d'un accident et ses implications. Un groupe de travail est mis en place par l'ONISR car il faut selon leurs propres termes « re-motiver » les services de police et de gendarmerie. Donc, pourquoi les analyses tirées de ces fiches font-elles tellement référence ?
La vitesse est un facteur aggravant, nous roulons trop vite donc il faut des radars, rien n'est fait sur la formation, pourquoi ?
Le manque de moyens et de volonté politique ou tout simplement parce que nous entendons une nouvelle interprétation des mots et de leurs définitions.
a.. Faire de la formation, c'est mettre des radars ;
b.. Faire de l'éducation, c'est mettre des radars ;
c.. Faire de la prévention, c'est mettre des radars ;
A l'heure où nous rentrons dans une banalisation de la répression, où l'usager de la route est synonyme de délinquant et d'assassin (comme le dit Raffarin), il faut se mobiliser.
Nous lançons de ce fait un appel national à manifester dans les départements, les 15 et 16 mars, en plein cour du débat.
Lieux et heures des rendez-vous : http://www.ffmc.asso.fr/
Date Antennes Rendez-vous Ville Contact
Samedi 15 mars FFMC 06 14h00 place Massena NICE 06 67 30 89 60
Samedi 15 mars FFMC 10 14h00 parking de l'UTT TROYES 03 25 49 84 54
Samedi 15 mars FFMC 11 14h00 parking centre Leclerc route de Toulouse (N 113) CARCASSONNE 06 08 81 87 21
Samedi 15 Mars FFMC 13 15h00 place Jean Jaurès ( La Plaine ) MARSEILLE 04.91.34.92.73
Samedi 15 Mars FFMC 14 14h00 parking de la piscine13h00 place Mitterand CAENLISIEUX
Samedi 15 Mars FFMC 16 Rejoint la manif de Périgueux
Samedi 15 Mars FFMC 24 14h00 place Francheville PERIGUEUX 06.81.95.86.91
Samedi 15 mars FFMC 26 13h00 parking du parc Jouvet RN 6 pour rejoindre la manif de Lyon VALENCE 06 63 24 67 58
Samedi 15 mars FFMC 29 14h parking du Parc des Expositions de PENVILLERS. QUIMPER 06.85.95.06.28
Samedi 15 mars FFMC 30 14h30 parvis des Arènes NIMES 04 66 29 66 86
Samedi 15 mars FFMC 33 Deux départs sont prévus à 14h00 lace Ravesies - parking de la gare St Louis Quai de Paludate - parking en face du M.I.N. BORDEAUX 05 56 90 91 03
Samedi 15 mars FFMC 34 14h00 aux Arceaux MONTPELLIER 06 81 83 63 62
Samedi 15 mars FFMC 35 Rejoint la manif de Nantes
Samedi 15 mars FFMC 37 14h30 Place Thiers . Arrêts devant les symboles de l'Autorité : la gendarmerie, le poste de Police et la Préfecture TOURS
Samedi 15 mars FFMC 38 12h30 place de la Préfecture pour rejoindre la manif de Lyon GRENOBLE 04 76 87 21 10
Samedi 15 mars FFMC 40 Deux points de rendez-vous pour rejoindre la manifestation d'Agen*12h30 au rond-point route de Mont-de-Marsan (Station Total)* 13h15 au rond-point de la caserne des pompiers DAXMONT-DE-MARSAN 06.08.50.86.95
Samedi 15 mars FFMC 44 14h00 Champ de Mars - rue de Jemmapes NANTES 02 40 76 35 87
Samedi 15 mars FFMC 47 14h30 esplanade du Gravier AGEN 06 16 110 200
Samedi 15 mars FFMC 54 - 57 14h00 au Zénith NANCY 06 76 86 34 14
Samedi 15 mars FFMC 58 13h30 place Carnot NEVERS 06 63 17 24 55
Samedi 15 mars FFMC 59 14h30 rond-point de la RN 455 PECQUENCOURT 06 64 67 36 14
Samedi 15 mars FFMC 62 14h30 parking Bollaer LENS 06.18.47.87.87
Samedi 15 mars FFMC 63
Samedi 15 mars FFMC 66 14h00 parking face au palais des expositions PERPIGNAN 06 10 66 22 40
Samedi 15 mars FFMC 69 14h00 place Bellecour LYON 04 72 71 00 00
Dimanche 16 mars FFMC 75-92-93-94 14h00 Château de Vincennes VINCENNES
Samedi 15 mars FFMC 72 13h00 parking Antares LE MANS 06 85 61 52 36
Samedi 15 mars FFMC 73 14h00 au Carré curial CHAMBERY 06 13 375 095
Samedi 15 mars FFMC 74 14h00 quai du Semnoz face à l'hôtel de ville ANNECY
Samedi 15 mars FFMC 76 14h00 Quai du Cours La Reine Rouen rive gauche (quai bas Jacques Anquetil) ROUEN
Dimanche 16 mars FFMC 77 Rejoint la manif de paris
Dimanche 16 mars FFMC 78 Rendez-vous pour aller rejoindre la manif de Paris* 13h45 au local FFMC / Mutuelle des Motards 21 bld Renard Benoît* 14h00 rocade d'accès à l'A13 direction Paris * 14h15 bretelle d'accès au Pacha Club (Bull) * 14h00 gare SNCF EPONEPOISSYLOUVECIENNESLA VERRIERE Fifi : 06 77 92 65 48 John : 06 86 03 61 00
Samedi 15 mars FFMC 80 14h00 Parc de la Hotoie AMIENS 06 20 51 43 29
Samedi 15 mars FFMC 87 15h00 - Parking de la Bastide LIMOGES 05 55 77 59 07
Samedi 15 mars FFMC 88 14h30 parc des expositions EPINAL