04-18-2004, 03:17 PM
Voilà, topic émotionnel juste après l'arrivée du 1° GP de la saison.
HONDA l'a dévalorisé, HONDA a dit que ces machines étaient supérieures à toutes, ils ont même laissé entendre que ROSSI ne gagnerait rien cette saison.
Résultat, jeu set et match du Doctor sur une YAM. Et d'entrée de jeu.
Il s'est dépouillé pour contenir un Max des grands jours sur une HONDA qui semblait effectivement mieux. Mais voilà, c'était ROSSI devant.
Les temps au tour étaient de trés haut niveau. Sans commentaires, les images se suffisaient à elles-mêmes. De l'art.
La ligne franchie, les ennemis se sont spontanément serrés la main, la preuve que la bataille avait effacé les bisbilles pour valoriser les coeurs. Et quand Valé s'arrête pour s'assoir à côté de sa machine et lui réserver un moment d'intimité, comme s'il voulait lui faire une confidence, c'était poignant ...
ROSSI, le magicien a fait de la citrouille YAMAHA un carrosse. Ses équipiers étaient trop loin pour apprécier. Et HONDA n'avait plus que ses yeux pour pleurer.
HONDA l'a dévalorisé, HONDA a dit que ces machines étaient supérieures à toutes, ils ont même laissé entendre que ROSSI ne gagnerait rien cette saison.
Résultat, jeu set et match du Doctor sur une YAM. Et d'entrée de jeu.
Il s'est dépouillé pour contenir un Max des grands jours sur une HONDA qui semblait effectivement mieux. Mais voilà, c'était ROSSI devant.
Les temps au tour étaient de trés haut niveau. Sans commentaires, les images se suffisaient à elles-mêmes. De l'art.
La ligne franchie, les ennemis se sont spontanément serrés la main, la preuve que la bataille avait effacé les bisbilles pour valoriser les coeurs. Et quand Valé s'arrête pour s'assoir à côté de sa machine et lui réserver un moment d'intimité, comme s'il voulait lui faire une confidence, c'était poignant ...
ROSSI, le magicien a fait de la citrouille YAMAHA un carrosse. Ses équipiers étaient trop loin pour apprécier. Et HONDA n'avait plus que ses yeux pour pleurer.
<i>" En politique, une absurdité n'est pas un obstacle " </i> Napoléon Bonaparte.