(08-20-2020, 12:46 PM)Tib a écrit : Le mot existait, en médecine mais pas dans l'industrie automobile.
Ça risque pas, l’algo qui gérait le capteur était sur un micro 8 bits, on chassait les octets pour que ça rentre dans le bestiaux, on allait pas en plus lui coller un réseau de neurones...
(08-20-2020, 12:46 PM)Tib a écrit : Le mot existait, en médecine mais pas dans l'industrie automobile.
Ça risque pas, l’algo qui gérait le capteur était sur un micro 8 bits, on chassait les octets pour que ça rentre dans le bestiaux, on allait pas en plus lui coller un réseau de neurones...
Genre un Atmega 328P ou plus petit (en stockage) ?
If you're not crashing, you're not trying hard enough.
Les premieres publications sur les reseaux neuronaux datent de 1950, j avais deja fini mes etudes..........
Ben si Tesla utilise un systeme de lecture sur cameras et que ca ne marche pas par rapport a une piece a deux balles qui marche tres bien, je ne vois pas bien l interet..........
Trompettes de la renommée, vous etes bien mal embouchées
(08-20-2020, 12:46 PM)Tib a écrit : Le mot existait, en médecine mais pas dans l'industrie automobile.
Ça risque pas, l’algo qui gérait le capteur était sur un micro 8 bits, on chassait les octets pour que ça rentre dans le bestiaux, on allait pas en plus lui coller un réseau de neurones...
Genre un Atmega 328P ou plus petit (en stockage) ?
(08-20-2020, 08:33 AM)Bozo a écrit : D'ailleurs le capteur mesure quoi ? L'opacité, le nombre d'impact de gouttes ?
Sur le Picasso 1ere génération, c'était une source de lumière (une diode), avec à côté une capteur de lumière. Quand il ly a une goutte d'eau, il y a diffraction de la lumière de la source et donc le capteur le detecte.
Cela n'a rien à voir avec le phénomène de diffraction... C'est un phénomène de réfraction et de réflexion totale :
En l'absence de gouttes, le faisceau IR émis par la diode située sur la partie interne du parebrise subit une réflexion totale et est capté par le récepteur situé lui aussi sur la face interne du parebrise. Quand il y a de l'eau, du fait de la moins grande différence d'indice de réfraction entre l'eau et le verre qu'entre l'air et le verre, les rayons sont transmis (réfractés) dans l'air, ne reviennent pas sur la face interne du parebrise et plus il y a de gouttes d'eau, moins le capteur va récupérer de lumière.
C'est donc facile d'asservir la vitesse des essuie-glace à la quantité de lumière récupérée, pas besoin de système compliqué "qui se la pète" à la Tesla...
(08-20-2020, 11:58 PM)Gracus a écrit : NEC K0 avec 32 ko. Le grand luxe.
Mais carrément !
Si ça marche pas, c'est vrai que c'est con. Ils auraient dû garder le capteur à 30 cents le temps de développer la solution avec la caméra, puis faire une mise à jour OTA
If you're not crashing, you're not trying hard enough.
(08-20-2020, 11:52 PM)darkvador a écrit : Les premieres publications sur les reseaux neuronaux datent de 1950, j avais deja fini mes etudes..........
Ben si Tesla utilise un systeme de lecture sur cameras et que ca ne marche pas par rapport a une piece a deux balles qui marche tres bien, je ne vois pas bien l interet..........
C est bien le problème, un délire d ingénieur qui a été argumenté par l économie d un capteur et du cablage.
Ça a certainement coûté un fric monstre en soft pour un truc qui marche pas vraiment.
Le drame etant de supprimer l activation manuel via le comodo.
(08-20-2020, 08:33 AM)Bozo a écrit : D'ailleurs le capteur mesure quoi ? L'opacité, le nombre d'impact de gouttes ?
Sur le Picasso 1ere génération, c'était une source de lumière (une diode), avec à côté une capteur de lumière. Quand il ly a une goutte d'eau, il y a diffraction de la lumière de la source et donc le capteur le detecte.
Cela n'a rien à voir avec le phénomène de diffraction... C'est un phénomène de réfraction et de réflexion totale :
En l'absence de gouttes, le faisceau IR émis par la diode située sur la partie interne du parebrise subit une réflexion totale et est capté par le récepteur situé lui aussi sur la face interne du parebrise. Quand il y a de l'eau, du fait de la moins grande différence d'indice de réfraction entre l'eau et le verre qu'entre l'air et le verre, les rayons sont transmis (réfractés) dans l'air, ne reviennent pas sur la face interne du parebrise et plus il y a de gouttes d'eau, moins le capteur va récupérer de lumière.
C'est donc facile d'asservir la vitesse des essuie-glace à la quantité de lumière récupérée, pas besoin de système compliqué "qui se la pète" à la Tesla...
Merci beaucoup pour cette explication très claire ! Je m'interrogeais sur la manière dont cela fonctionnait, ça tombe à point nommé.
Marv, pas scientifique pour un sou
A l'attraction de la Cat' résister il faut.
Très fort me montrer je dois.
A NLV jamais ne dois aller...
(08-20-2020, 08:33 AM)Bozo a écrit : D'ailleurs le capteur mesure quoi ? L'opacité, le nombre d'impact de gouttes ?
Sur le Picasso 1ere génération, c'était une source de lumière (une diode), avec à côté une capteur de lumière. Quand il ly a une goutte d'eau, il y a diffraction de la lumière de la source et donc le capteur le detecte.
Cela n'a rien à voir avec le phénomène de diffraction... C'est un phénomène de réfraction et de réflexion totale :
En l'absence de gouttes, le faisceau IR émis par la diode située sur la partie interne du parebrise subit une réflexion totale et est capté par le récepteur situé lui aussi sur la face interne du parebrise. Quand il y a de l'eau, du fait de la moins grande différence d'indice de réfraction entre l'eau et le verre qu'entre l'air et le verre, les rayons sont transmis (réfractés) dans l'air, ne reviennent pas sur la face interne du parebrise et plus il y a de gouttes d'eau, moins le capteur va récupérer de lumière.
C'est donc facile d'asservir la vitesse des essuie-glace à la quantité de lumière récupérée, pas besoin de système compliqué "qui se la pète" à la Tesla...
A l’époque, je faisais le soft et j’avais séché l’optique à l’école.