02-08-2005, 11:28 AM
<!--QuoteBegin-ec+05.02.2005 à 10:55--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (ec @ 05.02.2005 à 10:55)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> Barbie a eu une mesaventure tordante a ce niveau en tombant sur un pervers , mais je prefere qu'elle le raconte elle meme <!--emo&-->[img]http://www.forum-autoroule.com/html/emoticons/ptdr.gif' border='0' style='vertical-align:middle' alt='ptdr.gif' /><!--endemo--> <!--QuoteEnd--> </td></tr></table><div class='postcolor'> <!--QuoteEEnd-->
Allons y pour la petite histoire.
Un matin en semaine, je suis super en retard pour le boulot. Je décide d'appeler la G7 pour qu'ils m'envoient un taxi. 5 minutes plus tard, une voiture se pointe. Le chauffeur loupe le numéro de la rue. Il se rend compte de son erreur, fait marche arrière, et manque d'aboutir une nana qui arrivait avec sa caisse.
Les festivités commencent, il la traite de mal baisée.....
Je monte dans le taxi, lui indique ma destination (Opéra) et nous voilà partis.
Arrivés porte de Clichy, il me demande mon prénom. Je le lui dit, et là il me sort: "humm Déborah, je me verrais bien te fouetter, c'est un prénom qui m'inspire pour ça". Le tout accompagné du mouvement de poignet, genre il a le fouet en main, et d'un mouvement de hanche, parce qu'il faut un minimum de chorégraphie.
Je ne répond pas et je me dis que le trajet va être vraiment long jusqu'à Opéra.
Il continue à me poser des questions. Je répond du bout des lèvres, mais ça dérape quand meme.
Il me demande comment s'appelle mon chef, s'il est marié, s'il a des enfants (réponses: andré, non, non).
Il me demande si mon chef a un chien. Je lui répond oui, et là: "je suis sûr qu'il doit lui refaire le cul tous les matins"......
Un peu interloquée, je reste comme une conne sans rien dire, et toujours porte de Clichy, parce qu'évidemment, il y a du monde, et qu'on du mal a passer les feux....
S'en suit toute une série de magnifiques phrases sur ses bordels préférés, les bordels espagnoles où on peut venir juste pour regarder en buvant un whisky glace, pas obligé de donner de sa personne. Je tente un changement de sujet sur le whisky en lui disant qu'un vrai amateur ne met jamais de glace dans son whisky, et là je me fais engueuler, parce que vraiment les bonnes femmes sont trop chiantes et jamais contentes.
D'ailleurs, je ne vais pas au boulot aujourd'hui, il va plutôt m'emener au Deauville, au casino.... (grand moment de solitude dans la voiture pour moi, d'autant qu'en meme temps qu'il me dit des douceurs, j'ai l'impression qu'il se branle).
Il me dit ensuite qu'un jour il m'emenera faire un tour dans ces fameux bordels espagnoles. Là, je lui dis que je ne crois pas que mon mari serait d'accord.
Bon sang, j'aurais du me taire. Je me fais encore engueuler, parce que je n'avais vraiment pas besoin de lui parler de mon mari.....
Finalement, le trajet se passe (20 minutes ça parait une éternité quand on a envie de sauter en marche). Arrivée à Opera, je le fais s'arrêter avant ma destination finale, une furieuse envie de m'enfuir en prime. Je le paye, et cerise sur le gateau, il se retourne vers moi et me dit: "Deborah, je peux te mettre une claque sur les fesses avant de partir?"
Je claque la portière en gueulant non, et voilà. Depuis je n'ai plus rappelé les G7, et je regrette de ne pas m'être plainte, parce que j'ai vraiment eu la trouille que ça se passe mal à un moment.
Allons y pour la petite histoire.
Un matin en semaine, je suis super en retard pour le boulot. Je décide d'appeler la G7 pour qu'ils m'envoient un taxi. 5 minutes plus tard, une voiture se pointe. Le chauffeur loupe le numéro de la rue. Il se rend compte de son erreur, fait marche arrière, et manque d'aboutir une nana qui arrivait avec sa caisse.
Les festivités commencent, il la traite de mal baisée.....
Je monte dans le taxi, lui indique ma destination (Opéra) et nous voilà partis.
Arrivés porte de Clichy, il me demande mon prénom. Je le lui dit, et là il me sort: "humm Déborah, je me verrais bien te fouetter, c'est un prénom qui m'inspire pour ça". Le tout accompagné du mouvement de poignet, genre il a le fouet en main, et d'un mouvement de hanche, parce qu'il faut un minimum de chorégraphie.
Je ne répond pas et je me dis que le trajet va être vraiment long jusqu'à Opéra.
Il continue à me poser des questions. Je répond du bout des lèvres, mais ça dérape quand meme.
Il me demande comment s'appelle mon chef, s'il est marié, s'il a des enfants (réponses: andré, non, non).
Il me demande si mon chef a un chien. Je lui répond oui, et là: "je suis sûr qu'il doit lui refaire le cul tous les matins"......
Un peu interloquée, je reste comme une conne sans rien dire, et toujours porte de Clichy, parce qu'évidemment, il y a du monde, et qu'on du mal a passer les feux....
S'en suit toute une série de magnifiques phrases sur ses bordels préférés, les bordels espagnoles où on peut venir juste pour regarder en buvant un whisky glace, pas obligé de donner de sa personne. Je tente un changement de sujet sur le whisky en lui disant qu'un vrai amateur ne met jamais de glace dans son whisky, et là je me fais engueuler, parce que vraiment les bonnes femmes sont trop chiantes et jamais contentes.
D'ailleurs, je ne vais pas au boulot aujourd'hui, il va plutôt m'emener au Deauville, au casino.... (grand moment de solitude dans la voiture pour moi, d'autant qu'en meme temps qu'il me dit des douceurs, j'ai l'impression qu'il se branle).
Il me dit ensuite qu'un jour il m'emenera faire un tour dans ces fameux bordels espagnoles. Là, je lui dis que je ne crois pas que mon mari serait d'accord.
Bon sang, j'aurais du me taire. Je me fais encore engueuler, parce que je n'avais vraiment pas besoin de lui parler de mon mari.....
Finalement, le trajet se passe (20 minutes ça parait une éternité quand on a envie de sauter en marche). Arrivée à Opera, je le fais s'arrêter avant ma destination finale, une furieuse envie de m'enfuir en prime. Je le paye, et cerise sur le gateau, il se retourne vers moi et me dit: "Deborah, je peux te mettre une claque sur les fesses avant de partir?"
Je claque la portière en gueulant non, et voilà. Depuis je n'ai plus rappelé les G7, et je regrette de ne pas m'être plainte, parce que j'ai vraiment eu la trouille que ça se passe mal à un moment.
Comment vit-on sans argent ?
Mal, forcément mal!
Nadine de Rothschild
Mal, forcément mal!
Nadine de Rothschild