C'est la question du consentement.
Consentement à l'impot.
Consentement à la sanction.
etc...
Quand les règles sont simples, proportionnelles, connues et surtout appliquées par tous, c'est acceptables.
Quand elles changent sans arrêt, parfois difficilement compréhensibles ou admissibles, et que certains en sont "exemptés" de par leur fonction ou réseau, ce n'est plus acceptable ce qui permet aux populations de passer au stade de la défiance.
Nous sommes beaucoup à en arriver là, que ça soit pour la répression routière ou les obligations lunaires qui fleurissent chaque trimestre.
Je t'entend déjà évoquer la question de l'éducation et du groupe, et effectivement c'est l'essentiel du problème mais il est impossible d'évoquer clairement la question en France sans être accusé de stigmatisation scandaleuse.
Je reste convaincu que correctionnaliser un "gros" excès de vitesse sur 4 voies sans accident ni mise en danger de la vie d'autrui est totalement disproportionné. C'est encore pire pour la confiscation où l'état s'arroge le droit de vol des biens de ses administrés pour des motifs qui ne sont ni sanitaires ni consécutifs à des blessures ou décès.
Consentement à l'impot.
Consentement à la sanction.
etc...
Quand les règles sont simples, proportionnelles, connues et surtout appliquées par tous, c'est acceptables.
Quand elles changent sans arrêt, parfois difficilement compréhensibles ou admissibles, et que certains en sont "exemptés" de par leur fonction ou réseau, ce n'est plus acceptable ce qui permet aux populations de passer au stade de la défiance.
Nous sommes beaucoup à en arriver là, que ça soit pour la répression routière ou les obligations lunaires qui fleurissent chaque trimestre.
Je t'entend déjà évoquer la question de l'éducation et du groupe, et effectivement c'est l'essentiel du problème mais il est impossible d'évoquer clairement la question en France sans être accusé de stigmatisation scandaleuse.
Je reste convaincu que correctionnaliser un "gros" excès de vitesse sur 4 voies sans accident ni mise en danger de la vie d'autrui est totalement disproportionné. C'est encore pire pour la confiscation où l'état s'arroge le droit de vol des biens de ses administrés pour des motifs qui ne sont ni sanitaires ni consécutifs à des blessures ou décès.