(02-22-2024, 01:58 PM)Topper Harley a écrit : Ça a été un bide car il y a trop peu de soleil..
C'est pas le seul problème.
Ils ne produisent pas non plus quand il y a une voiture dessus, donc pas compatible avec un fort trafic (donc l'installation en ville avec les embouteillages et l'ombre des bâtiments...

Toutes les merdes (poussière et gravillons) qui glissent sur un panneau lisse et incliné s'incrustent dans la route et diminuent le rendement. En plus on roule dessus et on rajoute de la gomme, de l'huile, etc.
Rajoute à ça le fait que la surface vitreuse s'opacifie, que des nids-de-poule se forment et que c'est la merde à réparer (faut sortir le panneau).
Rajoute à ça la gestion de la température beaucoup plus compliquée que quand t'as litéralement un flux d'air sur et sous ton panneau.
Rajoute à ça tout ce que j'ai oublié ou jamais su.
Bref, c'est compliqué d'imaginer que c'est une idée qui va marcher un jour.
(02-22-2024, 02:11 PM)Tib a écrit : Le discours commercial de l'induction c'est "pas de contact physique, pas de frottement, installation plus légère, moins de génie civile".
Pour les bus, pour moi l'intérêt est la réduction de la pollution visuelle par rapport à un pantographe et caténaire. C'est un peu paradoxal puisqu'on met des éolienne et des panneaux solaires partout, maintenant...