06-29-2023, 02:01 PM
(06-29-2023, 12:15 PM)perdu a Londres a écrit : Sur le marche de la voiture de sport , les constructeurs ont bien compris que le succes passe obligatoirement par des valeurs résiduelles élevées. Dans un monde ideal, la demande est largement supérieure a la capacite de production et l’equilibre se fait naturellement: pas de decote , constructeur, concessionnaire et acheteurs en neuf sont tous heureux …
Quand on s’éloigne du monde ideal, le constructeur doit arbitrer entre le cout se baisser la production et le cout de la baisse des valeurs résiduelles …
C’est ce qu’alpine vit en ce moment et pour l’instant , clairement, les delais de livraison se raccourcissent
Les valeurs résiduelles vint forcément baisser (pas s’effondrer, hein, juste baisser
A l’heure d’internet et d’acces total a l’information il devient difficile de cacher les problemes ;-)
ça marche quand tu es féfé, Porsche (sur les séries spécifique), pour alpine c'est largement plus compliqué.
féfé c'est simple, c'est 15000 voitures par an tout model confondu. Forcément, tu as 1 ou 2 ans d'attente et si tu veux une série spéciale il faut etre bien classé et avoir 2 ou 3 ou + pour etre seulement éligible.
Maintenant chez Alpine, ils n'arrivent même pas à vendre 5000 caisses par an. Ils ont un gros problème.
Chez féfé ils ont un autre problème, ils sont en bourse, il faut faire du chiffre de la marge de la croissance. Quand tu te limites à 15000 voitures par an, pas simple d'augmenter son CA & co. Tu peux vendre plus cher, vendre des maquettes de soufflerie/concept au prix d'une caisse, limiter l'augmentation de tes salariés mais à un moment tu auras aussi un problème
