12-04-2019, 10:46 AM
Quelques photos in vivo.
L'auto embarque des mécaniques à 6, 8 et 12 cylindres, ainsi qu'une version hybride rechargeable.
L'arrière, ça va :
Précision des ajustements munichois (c'est important) :
Zoom sur l'objet de tous les débats. La surface des naseaux est 40% plus grande que le modèle précédent, et ça se voit :
Les optiques avant à technologie laser (en option, de série il s'agit de LED), au style très moderne :
Un petit logo pour rappeler qu'après l'i8 et l'i3, la Série 7 est le troisième modèle BMW à embarquer un châssis partiellement carbonisé :
L'auto dispose désormais de la direction intégrale. Je trouve le dessin de ces jantes très réussi, juste équilibre entre luxe et sportivité :
L'intérieur est moins baroque que la face avant. L'isolation phonique a été sévèrement renforcée.
L'écran central est plus grand et tactile, mais les commandes sont doublées d'un pad sensitif positionné sur la console centrale. Le cuir matelassé, très à la mode ces temps-ci, est proposé en option dans différentes teintes plus ou moins salissantes :
Le combiné d'instruments numérique, avec dans sa partie supérieure les capteurs d'hypovigilance du conducteur, est totalement inédit :
De conception moins récente que l'Audi A8 et ses commandes tactiles, la Série 7 fait encore appel à des commandes mécaniques pour la climatisation :
La sono de bord est fournie par le partenaire habituel de BMW, l'anglais Bowers & Wilkins fondé en 1966. Nouveauté, l'auto est désormais proposée avec un empattement unique, quand les modèles précédents l'étaient en 2 longueurs différentes. Partant du principe que qui peut le plus peut le moins, cette nouvelle mouture reprend l'empattement du modèle limousine précédent :
L'auto est disponible en 3 configurations arrières (5 places, 4 places avec console centrale fixe, 5 places avec console centrale amovible et sièges "confort" aux réglages étendus) :
Sur l'accoudoir arrière, outre la commande de lève-vitre, on trouve également les commandes de stores électriques et de verrouillage individuel de la portière :
Le pavillon propose un toit ouvrant panoramique double, qui intègre un éclairage nocturne d'ambiance coordonné avec l'éclairage de l'habitacle :
Une déclinaison Alpina B7 est d'ores et déjà proposée, motorisée par le bloc V8 :
Le moteur revu par le préparateur officiel de la marque délivre 600 chevaux, soit une puissance équivalente au modèle V12, mais à la masse bien plus importante sur le train avant :
L'auto voit sa vitesse maximale s'établir à 330 km/h, quand une M760i plafonne lamentablement à 256 km/h, valeur retenue par BMW pour la bride électronique du gentlemen agreement germanique.
Les paramétrages électroniques de la boîte sont également revus, et chaque modèle est signé :
L'Alpine est disponible à la commande en France, via le réseau officiel de la marque.
L'auto embarque des mécaniques à 6, 8 et 12 cylindres, ainsi qu'une version hybride rechargeable.
L'arrière, ça va :
Précision des ajustements munichois (c'est important) :
Zoom sur l'objet de tous les débats. La surface des naseaux est 40% plus grande que le modèle précédent, et ça se voit :
Les optiques avant à technologie laser (en option, de série il s'agit de LED), au style très moderne :
Un petit logo pour rappeler qu'après l'i8 et l'i3, la Série 7 est le troisième modèle BMW à embarquer un châssis partiellement carbonisé :
L'auto dispose désormais de la direction intégrale. Je trouve le dessin de ces jantes très réussi, juste équilibre entre luxe et sportivité :
L'intérieur est moins baroque que la face avant. L'isolation phonique a été sévèrement renforcée.
L'écran central est plus grand et tactile, mais les commandes sont doublées d'un pad sensitif positionné sur la console centrale. Le cuir matelassé, très à la mode ces temps-ci, est proposé en option dans différentes teintes plus ou moins salissantes :
Le combiné d'instruments numérique, avec dans sa partie supérieure les capteurs d'hypovigilance du conducteur, est totalement inédit :
De conception moins récente que l'Audi A8 et ses commandes tactiles, la Série 7 fait encore appel à des commandes mécaniques pour la climatisation :
La sono de bord est fournie par le partenaire habituel de BMW, l'anglais Bowers & Wilkins fondé en 1966. Nouveauté, l'auto est désormais proposée avec un empattement unique, quand les modèles précédents l'étaient en 2 longueurs différentes. Partant du principe que qui peut le plus peut le moins, cette nouvelle mouture reprend l'empattement du modèle limousine précédent :
L'auto est disponible en 3 configurations arrières (5 places, 4 places avec console centrale fixe, 5 places avec console centrale amovible et sièges "confort" aux réglages étendus) :
Sur l'accoudoir arrière, outre la commande de lève-vitre, on trouve également les commandes de stores électriques et de verrouillage individuel de la portière :
Le pavillon propose un toit ouvrant panoramique double, qui intègre un éclairage nocturne d'ambiance coordonné avec l'éclairage de l'habitacle :
Une déclinaison Alpina B7 est d'ores et déjà proposée, motorisée par le bloc V8 :
Le moteur revu par le préparateur officiel de la marque délivre 600 chevaux, soit une puissance équivalente au modèle V12, mais à la masse bien plus importante sur le train avant :
L'auto voit sa vitesse maximale s'établir à 330 km/h, quand une M760i plafonne lamentablement à 256 km/h, valeur retenue par BMW pour la bride électronique du gentlemen agreement germanique.
Les paramétrages électroniques de la boîte sont également revus, et chaque modèle est signé :
L'Alpine est disponible à la commande en France, via le réseau officiel de la marque.