Rolls Royce y va de sa Black Edition pachydermique. Derrière l'appellation à la mode, une auto plus puissante au comportement routier plus affirmé.
Pour la première fois dans l'histoire de la marque, la calandre se pare de noir :
Derrière la calandre, le fameux V12 "six trois quarts" délivre désormais 600 chevaux et 600 Nm de couple :
La boîte de vitesses est annoncée plus réactive, et l'échappement plus volubile.
Tous les chromes extérieurs affichent un élégant noir satiné :
Sur cette version, chaque peinture est polie à la main (10 passages) pour un effet "brillance" ultime, car elle le vaut bien. L'opération prend 5 heures, pour chaque passage (ne passons pas à côté des choses simples) :
Derrière les jantes de 22" à la finition diamantée, un système de freinage renforcé supportant de plus hautes températures. Pour la première fois de son histoire (décidément), Rolls Royce propose des étriers de frein... de couleur :
A l'intérieur, d'inédits plaquages en carbone tissé "nu" avec effet 3D, qui doivent être un régal à tenir propres pour un maniaque comme moi :
La marque n'a pas totalement renié ses origines, puisque le combiné d'instruments ne présente toujours pas de compte-tours, mais plutôt une "jauge de réserve de puissance" :
Le fameux ciel de toit constellé de 1344 diodes lumineuses présenté en première mondiale sur la Wraith en 2013 est ici reconduit (soient 4 diodes de plus que sur la Wraith a priori, au passage) :
En option de l'option, les diodes peuvent être synchroniser pour simuler des étoiles filantes, histoire d'aider à l'endormissement des chérubins installés à l'arrière.
En aparté, en 2013 Rolls avait poussé le délire jusqu'à reproduire strictement à l'identique le ciel de janvier 2003 à bord de sa série limitée Celestennial de sa Phantom, coïncidant avec la date de remise en production de cette limousine mythique :
Les strapontins intégrés à la ridelle de coffre "pour pique-niquer les jours de chasse" sont toujours présents :
Les commandes sont ouvertes, pour des livraisons à compter de mars 2020. Le tarif de base s'établit à 292 000 euros. Rolls Royce a poussé la démarche jusqu'à photographier son nouveau modèle carrément dans le noir, si bien que l'on ne voit... quasiment rien. Étonnant.
Pour la première fois dans l'histoire de la marque, la calandre se pare de noir :
Derrière la calandre, le fameux V12 "six trois quarts" délivre désormais 600 chevaux et 600 Nm de couple :
La boîte de vitesses est annoncée plus réactive, et l'échappement plus volubile.
Tous les chromes extérieurs affichent un élégant noir satiné :
Sur cette version, chaque peinture est polie à la main (10 passages) pour un effet "brillance" ultime, car elle le vaut bien. L'opération prend 5 heures, pour chaque passage (ne passons pas à côté des choses simples) :
Derrière les jantes de 22" à la finition diamantée, un système de freinage renforcé supportant de plus hautes températures. Pour la première fois de son histoire (décidément), Rolls Royce propose des étriers de frein... de couleur :
A l'intérieur, d'inédits plaquages en carbone tissé "nu" avec effet 3D, qui doivent être un régal à tenir propres pour un maniaque comme moi :
La marque n'a pas totalement renié ses origines, puisque le combiné d'instruments ne présente toujours pas de compte-tours, mais plutôt une "jauge de réserve de puissance" :
Le fameux ciel de toit constellé de 1344 diodes lumineuses présenté en première mondiale sur la Wraith en 2013 est ici reconduit (soient 4 diodes de plus que sur la Wraith a priori, au passage) :
En option de l'option, les diodes peuvent être synchroniser pour simuler des étoiles filantes, histoire d'aider à l'endormissement des chérubins installés à l'arrière.
En aparté, en 2013 Rolls avait poussé le délire jusqu'à reproduire strictement à l'identique le ciel de janvier 2003 à bord de sa série limitée Celestennial de sa Phantom, coïncidant avec la date de remise en production de cette limousine mythique :
Les strapontins intégrés à la ridelle de coffre "pour pique-niquer les jours de chasse" sont toujours présents :
Les commandes sont ouvertes, pour des livraisons à compter de mars 2020. Le tarif de base s'établit à 292 000 euros. Rolls Royce a poussé la démarche jusqu'à photographier son nouveau modèle carrément dans le noir, si bien que l'on ne voit... quasiment rien. Étonnant.