09-25-2019, 09:55 AM
Comme dans tout divorce, il y a des torts des 2 côtés.
Peter Beirer est indiscutablement un mauvais manager, c'est assez jouissif de voir la minuscule équipe Aprilia sans sponsors et avec un budget ridicule en comparaison de celui de KTM, monter en puissance.
Après Zarco est très décevant, avec un caractère déplorable, qui a passé son temps à engueuler les mécanos, lamentable dans le développement de la machine lamentable dans les attitudes en course (je m'arrête avant la fin car j'en ai marre comme un gamin de 10ans, son attitude à Jerez, etc...), dans sa communication avec les médias en critiquant ouvertement et durement son employeur pendant que son coéquipier lui mettait 5 à 8 places dans la vue...
Souviens-toi du pain noir que Valentino à mangé chez Ducati pendant 18 mois en se contentant de dire qu'ils avaient du travail et se concentraient sur les progrès à apporter à la machine, sans jamais critiquer son employeur malgré son palmarès.
Il a bénéficié d'un excellent package chez Tech3 en 2018 avec une bonne machine et une équipe vraiment consciencieuse autour de lui.
Le package de Morbidelli et de Quartararo est AMHA comparable cette année.
Nous verrons si la piste Honda se concrétise, et si c'est le cas (par miracle) si il arrive à avancer sur cette machine réputée physique et difficile.
Un peu d'humilité lui ferait du bien, ce n'est pas un Valentino, ni un Marquez ou un Quartararo, en tout cas je n'en voudrais pas dans mon équipe et Alberto Puig semble moins enthousiaste que l'année dernière.
De toute façon il va falloir attendre que la staaaar Suisse (il n'est plus Majorcain, fiscalité oblige...) se décide à raccrocher le casque pour que le Niçois soit fixé.
Peter Beirer est indiscutablement un mauvais manager, c'est assez jouissif de voir la minuscule équipe Aprilia sans sponsors et avec un budget ridicule en comparaison de celui de KTM, monter en puissance.
Après Zarco est très décevant, avec un caractère déplorable, qui a passé son temps à engueuler les mécanos, lamentable dans le développement de la machine lamentable dans les attitudes en course (je m'arrête avant la fin car j'en ai marre comme un gamin de 10ans, son attitude à Jerez, etc...), dans sa communication avec les médias en critiquant ouvertement et durement son employeur pendant que son coéquipier lui mettait 5 à 8 places dans la vue...
Souviens-toi du pain noir que Valentino à mangé chez Ducati pendant 18 mois en se contentant de dire qu'ils avaient du travail et se concentraient sur les progrès à apporter à la machine, sans jamais critiquer son employeur malgré son palmarès.
Il a bénéficié d'un excellent package chez Tech3 en 2018 avec une bonne machine et une équipe vraiment consciencieuse autour de lui.
Le package de Morbidelli et de Quartararo est AMHA comparable cette année.
Nous verrons si la piste Honda se concrétise, et si c'est le cas (par miracle) si il arrive à avancer sur cette machine réputée physique et difficile.
Un peu d'humilité lui ferait du bien, ce n'est pas un Valentino, ni un Marquez ou un Quartararo, en tout cas je n'en voudrais pas dans mon équipe et Alberto Puig semble moins enthousiaste que l'année dernière.
De toute façon il va falloir attendre que la staaaar Suisse (il n'est plus Majorcain, fiscalité oblige...) se décide à raccrocher le casque pour que le Niçois soit fixé.
