03-16-2014, 10:32 PM
(03-16-2014, 09:37 PM)Spoone a écrit : ...
Ça faisait longtemps ...
Donc l'impact n'aura strictement aucune influence. A part pour les politiques de gauche qui vont profiter du début NATUREL d'amélioration annoncé pour tout mettre sur le dos de leur pauvre mesurette.
- Les marketeux auto font ce qu'on leur demande de faire en haut lieu, à savoir à la direction. Le diesel a été favorisé sous l'impact d'un certain PDG de PSA... Mr Calvet, totalement injoignable par les médias.
Et en haut lieu, ça se deal en lobby avec les politiques. Les marketeux changeront de politique quand les politiques changeront de marketeux personnels (comprendre comm en carrières), sans compter l'influence des pétroliers qui ne paient pas d'impôt mais pour lesquels il semble qu'il ne se passe pas grand chose => Bref, ne pas se tromper de cible.
- Ça se passera très bien demain, 1 voitures sur 50 se fera arrêter, et repartira.
- Le GPL est exhnoéré des contraintes.
- Le Télétravail, c'est un dossier qui dort depuis presque 30 ans. Un dossier avait été déposé en bon et dû forme sur le bureau de Chirac alors qu'il n'était encore que député et Maire de Paris. On voit ce qui a été fait. Pour la confiance, les entreprises aurait tout à gagner dans certains postes. Après tout, elle paie des salaires pour une mission dans nombre de cas. Le VRP sont sur les routes et le problème de confiance commencent à se poser uniquement depuis que le principe du traceur existe et les abus qui vont avec. Le télétravail permet de construire moins de surface de bureau, moins de volume à chauffer, moins de pollution subordonnée à charge de l'entreprise. Face à cela, un petite dédommagement est calculable facilement et ça pourrait même être légiféré (ça existe bien pour l'usage des vehicules). En face, le salarié s'organise comme il veut pourvu que sa mission soit remplie dans un délai donné. Il roule moins, consomme moins, pollue moins. Les economies réalisées iront dans d'autres postes de dépense, et relancerait la consommation sur d'autres marchés. Moins de monde sur les routes, c'est aussi moins de morts potentiels, moins d'accidents, plus de fluidité, temps de trajets réduits, etc... Sauf que les politiques de tout bords et la plupart des entreprises ne font rien pour cette possibilité.