02-15-2011, 01:31 AM
Plutôt que de tenter d'améliorer le niveau général des conducteurs, nos dirigeants, pragmatiques, ont préféré l'aligner par le bas.
Finalement plus simple, plus rapide et moins utopique.
Ils ont dû se rendre compte (suffit de faire un tour dans la circulation) qu'il y avait plus de nanars que de païlotes.
En fait en disant païlote je pense plus aux gens qui aiment conduire et qui comprennent un peu comment fonctionne et réagit un engin à moteur.
Comme les dinosaures et les mammouths avant eux, une race en voie de disparition.
Peut-être faut-il l'accepter au nom du partage apaisé de la route ?
Est-il nécessaire pour autant de ne vouloir voir qu'une seule tête et de diaboliser tous ceux qui apprécieraient un peu de souplesse ou de discernement dans le système ?
Est-il irréaliste,sur certains tronçons d'autoroute ou de voie rapide, de moduler la limitation quand les conditions le permettent (temps sec et clair, moins de "x" véhicules au km, les fabricants d'électronique devraient savoir faire )
De donner l'impression que les mesures de sécurité sont prises là où c'est nécessaire (ce que toute personne honnête et censée reconnaîtra) et que sur certaines zones on peut laisser un peu d'espace de liberté.
Ca permettrait peut-être de faire comprendre et admettre la nécessité de lever le pied dans certaines zones (en ville, par exemple), mais pas partout, et" si-tu-dépasses-d'un-km/h-t'es-un-assasin".
En fait ne pas prendre les gens QUE pour des cons et des irresponsables.
Mais peut-être ne suis-je qu'un doux rêveur ?
Les dirigeants ont dû faire leurs comptes : ils préfèrent gêrer (chiffres pifométiques, pour illustrer mon propos) 5% de "chauffards" roulant en n'ayant plus leur permis, que 40% de "nanars" roulant en n'ayant pas de permis ...
Finalement plus simple, plus rapide et moins utopique.
Ils ont dû se rendre compte (suffit de faire un tour dans la circulation) qu'il y avait plus de nanars que de païlotes.
En fait en disant païlote je pense plus aux gens qui aiment conduire et qui comprennent un peu comment fonctionne et réagit un engin à moteur.
Comme les dinosaures et les mammouths avant eux, une race en voie de disparition.
Peut-être faut-il l'accepter au nom du partage apaisé de la route ?
Est-il nécessaire pour autant de ne vouloir voir qu'une seule tête et de diaboliser tous ceux qui apprécieraient un peu de souplesse ou de discernement dans le système ?
Est-il irréaliste,sur certains tronçons d'autoroute ou de voie rapide, de moduler la limitation quand les conditions le permettent (temps sec et clair, moins de "x" véhicules au km, les fabricants d'électronique devraient savoir faire )
De donner l'impression que les mesures de sécurité sont prises là où c'est nécessaire (ce que toute personne honnête et censée reconnaîtra) et que sur certaines zones on peut laisser un peu d'espace de liberté.
Ca permettrait peut-être de faire comprendre et admettre la nécessité de lever le pied dans certaines zones (en ville, par exemple), mais pas partout, et" si-tu-dépasses-d'un-km/h-t'es-un-assasin".
En fait ne pas prendre les gens QUE pour des cons et des irresponsables.
Mais peut-être ne suis-je qu'un doux rêveur ?
Les dirigeants ont dû faire leurs comptes : ils préfèrent gêrer (chiffres pifométiques, pour illustrer mon propos) 5% de "chauffards" roulant en n'ayant plus leur permis, que 40% de "nanars" roulant en n'ayant pas de permis ...
Quand on aime Doubitchous, on aime Klug !