Pour illustrer sur les Type 57 :
Berline : Galibier
Coach : Ventoux
Cabriolet : Stelvio
Coupé : Atalante
<!--quoteo-->CITATION<!--quotec-->La première apparition du Type 57S (pour sport ou surbaissé) eut lieu au Tourist Trophy en août 1936, habillé d’une légère carrosserie réalisé par Corsica et piloté par Embiricos. La 57S est sans doute la voiture qui illustre le mieux le concept de « grand tourisme rapide ». Vive et racée, nerveuse et rapide, exclusive et chère, habillée de tenues sportives et spectaculaires, elle ne fut construite qu’à 41 exemplaires d’août 1936 à mai 1938. Cette voiture est une des Bugatti les plus typiques où se mêlent le conservatisme et l’originalité, l’élégance et les performances, sans soucis de prix de revient. Toutes les carrosseries de la 57S sont à deux places, coupé ou cabriolet, fabriquées aussi bien à l’usine selon des dessins de Jean que par les meilleurs carrossiers indépendants. Les coupés Atalante construit sur le châssis 57S ont des découpes de couleur et des nervures différentes de celles que l’on peut remarquer sur les Atalantes montées sur châssis normal.
Son moteur, affûté comme celui de la 59, sa calandre en coupe-vent et son châssis raccourci et surbaissé au travers duquel passe le pont arrière sont quelques-unes des caractéristiques les plus fameuses de ce modèle. Bien que, d’origine, deux voitures seulement furent équipées d’un compresseur, plusieurs retournèrent à Molsheim pour recevoir cet équipement qui augmentait la puissance du moteur d’environ 25ch. Le moteur est un dérivé du 57 « normal », toujours d’une cylindrée de 3257cc, il développe 175ch en version S et 200 en version SC à compresseur.<!--QuoteEnd--><!--QuoteEEnd-->
Coupé 57SC réalisé par Corsica
Roadster 57S Van Vooren
Cabriolet 57S Aravis
Cabriolet 57S Van Den Plas
Cabriolet 57S Gangloff
<!--quoteo-->CITATION<!--quotec-->Un surprenant prototype est placé près de l’Atalante sur le stand du grand palais en 1935 : l’Aérolithe. Il s’agit d’un coupé surbaissé sur un châssis de Type 57 raccourci. Il conserve la calandre verticale de la berline et ses phares sont encastrés, très bas, sur les ailes avant. Il est surtout remarquable par ses ailes rivetées et l’arête, elle aussi rivetée, qui court sur le pavillon. Cette carrosserie, qui fit sensation, habille en 1936 un châssis surbaissé 57S et prend le nom d’Atlantic. Cette carrosserie futuriste apparaît encore plus spectaculaire avec sa calandre en coupe-vent, sa ligne de capot abaissée et sa hauteur ne dépassant pas 1,30m. Deux des trois voitures construites sont livrées en septembre et octobre 1936, la dernière en mai 1938.<!--QuoteEnd--><!--QuoteEEnd-->
Aerolithe
<!--quoteo-->CITATION<!--quotec-->Au début de 1936, Jean fit préparer trois châssis de 57S pour les faire courir en catégorie « sport ». Ces voitures reçurent l’appellation officielle de Type 57G, mais elle furent aussitôt baptisées « Tank » en raison de la forme peu élégante de la carrosserie, même si celle-ci ne rappelait en rien celle des voitures de Tours en 1923. Leur moteur sans compresseur était préparé aux standards de celui de la 59, cette dernière prêtant également ses roues. Wimille et Sommer remportèrent le GP de l’ACF à Montlhéry puis le GP de la Marne à Reims. Benoist, Veyron et Williams au volant de la 57G offrirent à Bugatti une série impressionnante de records allant des 100Km au 24 heures. Le record de l’heure fut battu à 217,941Km/h de moyenne.
L’enthousiasme de Jean, le talent de Wimille et Veyron et un peu de chance permirent à Bugatti d’inscrire une seconde fois son nom au palmarès des 24H du Mans. Malgré une sérieuse opposition, l’unique 57C engagée remporta la victoire qui fut aussi la dernière d’une Bugatti dans une compétition internationale. Il s’agissait d’un châssis de 57, sur lequel fut monté un moteur à compresseur convenablement préparé et une carrosserie de 57G.<!--QuoteEnd--><!--QuoteEEnd-->
Type 57 C (1937, dotation d'un compresseur pour une puissance de 160 ch) :
Berline : Galibier
Coach : Ventoux
Cabriolet : Stelvio
Coupé : Atalante
<!--quoteo-->CITATION<!--quotec-->La première apparition du Type 57S (pour sport ou surbaissé) eut lieu au Tourist Trophy en août 1936, habillé d’une légère carrosserie réalisé par Corsica et piloté par Embiricos. La 57S est sans doute la voiture qui illustre le mieux le concept de « grand tourisme rapide ». Vive et racée, nerveuse et rapide, exclusive et chère, habillée de tenues sportives et spectaculaires, elle ne fut construite qu’à 41 exemplaires d’août 1936 à mai 1938. Cette voiture est une des Bugatti les plus typiques où se mêlent le conservatisme et l’originalité, l’élégance et les performances, sans soucis de prix de revient. Toutes les carrosseries de la 57S sont à deux places, coupé ou cabriolet, fabriquées aussi bien à l’usine selon des dessins de Jean que par les meilleurs carrossiers indépendants. Les coupés Atalante construit sur le châssis 57S ont des découpes de couleur et des nervures différentes de celles que l’on peut remarquer sur les Atalantes montées sur châssis normal.
Son moteur, affûté comme celui de la 59, sa calandre en coupe-vent et son châssis raccourci et surbaissé au travers duquel passe le pont arrière sont quelques-unes des caractéristiques les plus fameuses de ce modèle. Bien que, d’origine, deux voitures seulement furent équipées d’un compresseur, plusieurs retournèrent à Molsheim pour recevoir cet équipement qui augmentait la puissance du moteur d’environ 25ch. Le moteur est un dérivé du 57 « normal », toujours d’une cylindrée de 3257cc, il développe 175ch en version S et 200 en version SC à compresseur.<!--QuoteEnd--><!--QuoteEEnd-->
Coupé 57SC réalisé par Corsica
Roadster 57S Van Vooren
Cabriolet 57S Aravis
Cabriolet 57S Van Den Plas
Cabriolet 57S Gangloff
<!--quoteo-->CITATION<!--quotec-->Un surprenant prototype est placé près de l’Atalante sur le stand du grand palais en 1935 : l’Aérolithe. Il s’agit d’un coupé surbaissé sur un châssis de Type 57 raccourci. Il conserve la calandre verticale de la berline et ses phares sont encastrés, très bas, sur les ailes avant. Il est surtout remarquable par ses ailes rivetées et l’arête, elle aussi rivetée, qui court sur le pavillon. Cette carrosserie, qui fit sensation, habille en 1936 un châssis surbaissé 57S et prend le nom d’Atlantic. Cette carrosserie futuriste apparaît encore plus spectaculaire avec sa calandre en coupe-vent, sa ligne de capot abaissée et sa hauteur ne dépassant pas 1,30m. Deux des trois voitures construites sont livrées en septembre et octobre 1936, la dernière en mai 1938.<!--QuoteEnd--><!--QuoteEEnd-->
Aerolithe
<!--quoteo-->CITATION<!--quotec-->Au début de 1936, Jean fit préparer trois châssis de 57S pour les faire courir en catégorie « sport ». Ces voitures reçurent l’appellation officielle de Type 57G, mais elle furent aussitôt baptisées « Tank » en raison de la forme peu élégante de la carrosserie, même si celle-ci ne rappelait en rien celle des voitures de Tours en 1923. Leur moteur sans compresseur était préparé aux standards de celui de la 59, cette dernière prêtant également ses roues. Wimille et Sommer remportèrent le GP de l’ACF à Montlhéry puis le GP de la Marne à Reims. Benoist, Veyron et Williams au volant de la 57G offrirent à Bugatti une série impressionnante de records allant des 100Km au 24 heures. Le record de l’heure fut battu à 217,941Km/h de moyenne.
L’enthousiasme de Jean, le talent de Wimille et Veyron et un peu de chance permirent à Bugatti d’inscrire une seconde fois son nom au palmarès des 24H du Mans. Malgré une sérieuse opposition, l’unique 57C engagée remporta la victoire qui fut aussi la dernière d’une Bugatti dans une compétition internationale. Il s’agissait d’un châssis de 57, sur lequel fut monté un moteur à compresseur convenablement préparé et une carrosserie de 57G.<!--QuoteEnd--><!--QuoteEEnd-->
Type 57 C (1937, dotation d'un compresseur pour une puissance de 160 ch) :
<!--QuoteBegin-Chap3D+-->CITATION(Chap3D)<!--QuoteEBegin-->Dans une Seven, on est assis dans le paysage!<!--QuoteEnd--><!--QuoteEEnd-->