Hier, 12:06 PM
Un spécialiste de la réparation des voitures électriques, EV Clinic, s’interroge sur certains choix techniques des constructeurs qui seraient à l’origine des pannes ou de complications dans les dépannages. L’entreprise jette en réalité un pavé dans la mare et pose clairement la question de l’obsolescence programmée.
EV Clinic n’y va pas avec le dos de la cuillère, indiquant que « depuis 2001, chaque Mercedes Diesel, essence, électrique, hybride a été fabriquée avec des défauts programmés, à la fois mécaniques et électroniques. » L’accusation est grave, mais selon EV Clinic, elle permettrait au constructeur de faire gonfler le prix des factures, car les pièces électroniques sont très chères.
EV Clinic a aussi constaté qu’à la suite d’un accident pas tellement grave avec 3 SUV électriques de la marque à l’étoile (suffisant tout de même pour déclencher un airbag), les véhicules ont perdu en puissance et que la batterie s’est désactivé. Selon les ingénieurs de Zagreb, cette pirouette obligerait le client à changer le pack, facturé 75.000 euros si on prend l’exemple de l’EQV !
EV Clinic soutient ses déclarations par le fait que l’anomalie est impossible à résoudre et que le code informatique créée un code d’erreur qui ne peut pas être supprimé même avec des outils de développeurs. EV Clinic dit avoir constaté cela sur les EQC, EQB, EQA, eSprinter et sur la gamme d’hybrides rechargeables.
On pourrait se poser la question de savoir pourquoi EV Clinic s’en prend spécifiquement à Mercedes. Et la réponse est donnée : c’est parce que le constructeur utilise les mêmes batteries que, par exemple, le groupe Stellantis (Opel Vivaro-e et Citroën ë-Jumpy) qui, lui, ne rencontre pas ce problème de désactivation. La seule différence qui existe entre ces véhicules, c’est la partie logicielle qui est développée en interne chez chaque marque.
Jouant les lanceurs d’alertes, EV Clinic dit mettre le problème sur la table pour éviter justement de servir les discours des anti-électromobilité, mais aussi pour que les assureurs prennent la mesure de la chose puisque, souvent, ce sont eux qui règlent les factures au final. Selon l’entreprise, avec les Mercedes, le prix des réparations augmenterait de +400%. EV Clinic n’en donc démord pas et indique aux consommateurs qui veulent bien l’entendre que « il est recommandé d’éviter absolument toutes les séries et modèles de motorisation Mercedes-Benz, car bientôt plus personne ne pourra vous aider. »
La source : https://gocar.be/fr/actu-auto/electrique...linic-test
EV Clinic n’y va pas avec le dos de la cuillère, indiquant que « depuis 2001, chaque Mercedes Diesel, essence, électrique, hybride a été fabriquée avec des défauts programmés, à la fois mécaniques et électroniques. » L’accusation est grave, mais selon EV Clinic, elle permettrait au constructeur de faire gonfler le prix des factures, car les pièces électroniques sont très chères.
EV Clinic a aussi constaté qu’à la suite d’un accident pas tellement grave avec 3 SUV électriques de la marque à l’étoile (suffisant tout de même pour déclencher un airbag), les véhicules ont perdu en puissance et que la batterie s’est désactivé. Selon les ingénieurs de Zagreb, cette pirouette obligerait le client à changer le pack, facturé 75.000 euros si on prend l’exemple de l’EQV !
EV Clinic soutient ses déclarations par le fait que l’anomalie est impossible à résoudre et que le code informatique créée un code d’erreur qui ne peut pas être supprimé même avec des outils de développeurs. EV Clinic dit avoir constaté cela sur les EQC, EQB, EQA, eSprinter et sur la gamme d’hybrides rechargeables.
On pourrait se poser la question de savoir pourquoi EV Clinic s’en prend spécifiquement à Mercedes. Et la réponse est donnée : c’est parce que le constructeur utilise les mêmes batteries que, par exemple, le groupe Stellantis (Opel Vivaro-e et Citroën ë-Jumpy) qui, lui, ne rencontre pas ce problème de désactivation. La seule différence qui existe entre ces véhicules, c’est la partie logicielle qui est développée en interne chez chaque marque.
Jouant les lanceurs d’alertes, EV Clinic dit mettre le problème sur la table pour éviter justement de servir les discours des anti-électromobilité, mais aussi pour que les assureurs prennent la mesure de la chose puisque, souvent, ce sont eux qui règlent les factures au final. Selon l’entreprise, avec les Mercedes, le prix des réparations augmenterait de +400%. EV Clinic n’en donc démord pas et indique aux consommateurs qui veulent bien l’entendre que « il est recommandé d’éviter absolument toutes les séries et modèles de motorisation Mercedes-Benz, car bientôt plus personne ne pourra vous aider. »
La source : https://gocar.be/fr/actu-auto/electrique...linic-test